Suite à notre dernière rencontre, je quittais le monde des vivants. Je m’enfonçais dans l’île des morts, une dernière pensée pour Gaspard David Friedrich en tête (« 

« Vertikal II », c’est du bonus, la version longue, les minutes additionnelles d’un film, non pardon, du film. Celui-là, c’est « Vertikal« , et en voici

– Alors Docteur ? Qu’en pensez-vous ?
– Et bien voyez-vous très chère, voilà ce qu’on pourrait nommer, en des termes certes barbares, une belle poussée d’acné. On dirait

Maintenant que ma platine vinyle ronronne tranquillement comme un vieux matou entre deux siestes et autres rêves érotiques, je peux me payer le luxe de siroter un live

Il était une fois, dans une grande forêt, un petit chaperon rouge. Le rouge, c’est plutôt pour la couleur de son visage et de ses fesses marquées à la branche d’un chêne

Ils me font bien rire ces guides touristiques, ces cars de Japonais, ces Allemands en short pour Mickeyland, Amélie Poulain et son air d’accordéon. Ce n’est pas ce que j’en

« L’île aux morts ». J’ai toujours aimé ce tableau. Je l’ai observé jusque dans les moindres détails. Le trait du dessin, les aplats de couleurs, ce cachet surréel,

… Devrais-je avoir des remords ? Mon Dieu, qu’en pensez-vous ? Jamais je ne me suis écarté du droit chemin. Ces filles égarées méritaient ce que je leur ai donné.

…Les cadavres des femmes sont pendus aux arbres. Le vent fait grincer leurs articulations désormais inutiles. Rigor Mortis qui amuse tant les étudiants en médecine et les adolescents boutonneux en manque

Je suis entré dans le cimetière de mes pensées. Tombes à l’agonie de mes péchés voulus ou subis. Un terrain familier, moisi, flétri, fleurant la putréfaction morale et l’indécence