TOPS/FLOPS de l’année 2025 – Le Palmarès De Clair & Obscur !
2025
La rédaction
TOPS/FLOPS de l’année 2025 – Le Palmarès De Clair & Obscur !

Punaise, c’est déjà décembre ? Mais on n’était pas bien là, à siroter des cocktails sur la plage en regardant les J.O ? Hein ? Quoi ? C’était en 2024 ??? Ah. Je vois… C’est passé tellement vite. Bon, hummmm, chers lecteurs, il est venu le temps. Non pas des cathé… oui je sais je l’ai déjà écrite cette bêtise, mais tu ne vas pas me dire que les gens s’en rappellent non ? S’il faut faire à chaque fois de l’inédit… Rhôôôô. Ok, je me lance. Un Top Ten, c’est un condensé de bonheur. Celui que des musiciens nous ont donné tout au long de l’année et qui a suffisamment fait chavirer notre petit cœur d’amour pour nous faire lever la plume et déposer sur feuille numérique nos émotions passionnées. Un Top Ten, c’est un recueil de souvenirs qui peut être feuilleté par vous, chers lecteurs, si vous souhaitez tendre une oreille sur ces petits trésors que nous avons chéris. Comme nous vous chérissons, vous qui nous suivez fidèlement, tout comme les petits nouveaux. Puissiez-vous toutes et tous passer la meilleure des fins d’années possible, en musique bien sûr ! À l’année prochaine !
Fred Natuzzi pour la rédaction
Fred Natuzzi
Tops :


1 ex-aequo. Arman Méliès – Ambrosia // Animal Triste – Jericho
Tu préfères ton père ou ta mère ? Si comme moi, vous ne répondrez jamais à cette question, vous comprendrez mon classement ex-æquo d’Arman Méliès, qui livre une œuvre d’une noblesse sophistiquée et d’une immense beauté, ainsi que d’Animal Triste, qui envoie un boulet rock prenant aux tripes. Deux énormes disques sortis le même jour !
3. Other Lives – Volume V
Après un album mi figue-mi raisin, Other Lives délivre une magie folk faite de grandeur et de majesté.
4. Lord Huron – The Cosmic Selector Vol 1
Je n’ai jamais pu parler du travail de ce combo car je n’arrive pas à trouver les mots. Il y a des groupes comme cela ! De la grande folk indé américaine qui réussit le pari de se renouveler à chaque sortie.
5. Jesse Sykes & The Sweet Hereafter – Forever I’ve Been Being Born
Retour de Jesse Sykes après 14 ans d’absence ! Une voix toujours aussi envoûtante pour une americana fascinante qui stoppe le temps.
6. Lunatic Soul – The World Under Unsun
Fantastique double album du leader de Riverside qui livre un impressionnant travail. Du grand art.
7. Robert Finley – Hallelujah ! Don’t Let The Devil Fool Ya
LA surprise de 2025. Robert Finley faisait précédemment plutôt dans le blues, ici il se livre à une soul de haute volée qui s’empare fiévreusement de nous.
8. Midlake – A Bridge To Far
Retour en grâce pour ce groupe de folk américain qui, après un album assez fade, retrouve des couleurs.
9. The Hives – The Hives Forever Forever The Hives
A chaque album, c’est la claque. Une énergie de dingue pour un groupe qui a plus de vingt-cinq ans d’existence. Et parce que The Hives forever, forever The Hives.
10. Richard Ashcroft – Lovin’ You
Sans changer de recette, Richard Ashcroft livre un modèle d’album pop, aux mélodies magnifiques et envoûtantes.
Mentions Spéciales :
Robert Plant – Saving Grace
White Lies – Night Light
Bjorn Riis – Fimbulvinter
Of Monsters And Men – All Is Love And Pain In The Mouse Parade
IQ – Dominion
Arjen Anthony Lucassen – Song Noone Will Hear
Curtis Harding – Departures & Arrivals, Adventures Of Captain Curt
Turin Brakes – Spacehopper
Mumford & Sons – Rushmere
Dream Theater – Parasomnia
+ Brigitte Calls Me Baby – The Future Is Our Way Out (un album de 2024 découvert cette année suite à la prestation du groupe en première partie de Morrissey et que j’ai adoré pour leur mélange pop anglaise type The Smiths et sensibilité rock typiquement américaine. David Lynch aurait apprécié.)
Flops :
Arcade Fire – Pink Elephant
Qu’est-il arrivé à ce groupe si créatif habituellement ? J’espère qu’ils vont se reprendre car cet album est insipide.
The Black Keys – No Rain, No Flowers
À force de faire trop d’albums, on ne parvient plus à tenir la cadence. Trop de facilités et très décevant.
Steven Wilson – The Overview
Un opus surcoté qui ne retient quasiment jamais l’attention.
Jethro Tull – Curious Ruminant
Un album sur deux est chiant. C’est le cas de celui-ci. Jethro Tull n’a plus rien à prouver, certes, mais ici n’a rien à dire. Bientôt la retraite ?
L’état politique de la France, toujours aussi affligeant.
Le prix des places de concert qui augmente constamment, comme le prix des vinyles d’ailleurs.
Palabras De Oro
Tops :

1. The Commoners – Restless
Ça devait bien arriver un jour. Mon numéro un n’est pas prog mais southern rock. Bluffé par un show époustouflant au Bully On Rock, j’ai également craqué sur leur galette, non pas bretonne mais canadienne, fourrée d’un chanteur hors norme qui ressuscite (ce sera mon fil rouge cette année… Saint Neal, priez pour moi lol ) The Black Crowes, rien que ça !
2. A.C.T – Eternal Winter
Un incontournable de mes rares groupes fétiches revenu avec un opus nettement plus sombre bien que leur musique demeure toujours aussi brillante. Pas une résurrection, mais une éternelle confirmation.
3. Lunatic Soul – The World Under Unsun
En rupture avec la tonicité de Riverside, le béni Mariusz Duda (qu’on devrait canoniser) porte une mélancolie classieuse à son paroxysme.
4. Karmakanic – Transmutation
Après avoir coupé les amarres avec l’encombrant The Flower Kings, Jonas Reingold a ressuscité un Karmakanic beaucoup plus autonome, original et personnel.
5. Dream Theater – Parasomnia
Tel Jésus, l’autre Mike (Portnoy) est revenu ressusciter un Dream Theater presque en coma cérébral prolongé. Il n’a pas eu besoin des services de son pote spécialiste de la question (Neal Morse) et c’est tant mieux.
6. Esthesis – Out Of Step
Devenu un des poids lourds du prog tricolore, il était normal que Esthesis revienne avec un opus plus musclé baignant dans des atmosphères inquiétantes qui feraient se retourner un zombie dans sa tombe (au fait, en ont-ils des tombes ?)
7. Pinn Dropp – For The Love Of Drama
Comme dirait Souchon, j’ai dix ans… mais personne ne les connaît ou presque. Ces Polonais ont marié le metal prog avec le hard rock pour créer un univers où divinités maléfiques, révolutionnaires et bibliques se côtoient sur fond de péché capital.
8. Walter Astral – Éclipse
A-t-on jamais ressuscité des druides et un banjo ? Dans ses délires, Walter Astral l’a fait en créant une magie transcendantale et cosmographique pouvant aisément vous transporter dans un monde fantasmagorique, entre techno et ambient électroniques.
9. Path Of Ilya – La Dégustation
On espère que ça n’est pas leur dernier repas tellement celui-ci est délicieux. Là où certains se contentent de multiplier les pains, eux ils décuplent les plats avec un savant exotisme mis au service d’une remarquable technicité mélodique.
10. Pryzme – True Stories… And Other Lies
Le quatuor breton raconte ses vraies histoires et surtout ses mensonges à la « confesse » pour maintenir un fragile équilibre entre les sonorités acoustiques et électriques.
10 bis. Presto Ballet – Dreamentia
Ajouté in extremis à mon top 10 après une écoute tardive. Un album de prog accessible dans une discographie sans tâche où l’orgue Hammond est déifié.
Mentions spéciales : Parce-qu’on ne peut pas tous les mettre dans un top 10…
Monkeys On Mars – Monkeys On Mars : Génial, mais trop court pour mériter un top ten.
IQ – Dominion : Mais surtout leur double concert lors du Prog Rock Fest du Casino de Paris.
JPL – Post Scriptum : L’incontournable guitariste icône du rock prog français.
O.R.k. – Firehose Of Falsehoods : Ressuscite un grunge modernisé.
The Night Flight Orchestra – Give Us The Moon : Une révélation de pop 80’s modernisée.
The Jelly Jam : Un supergroupe que j’ai raté il y a une dizaine d’années avec Ty Tabor (King’s X), Rod Morgenstein (Winger & Dixie Dregs) et John Myung (Dream Theater). Merci à Pierrot de les avoir « fait revenir d’entre les morts » pour moi.
Alice Cooper – The Revenge Of Alice Cooper : Issu de la reformation du groupe d’origine. Ils ont retrouvé l’inspiration ante-christ et la flamme des débuts. Étonnant.
Tous les autres albums que j’ai chroniqués cette année, car je ne chronique que ce que j’aime… religieusement (re lol).
Flops :
Feu ! Chatterton – Labyrinthe : On a essayé de me le vendre à la rédac de C&O… sans succès même s’il en a beaucoup. C’est un groupe surcoté, mais il y en a beaucoup d’autres aussi (Nirvana, Kiss, Guns And Roses, AC/DC etc.)
Ange – Cunégonde : Je n’ai jamais aimé Ange, car beaucoup trop emphatique pour moi. Je vais réconcilier les fans qui se font la guéguerre concernant l’héritage de Descamps père. J’ai écouté cet album. Il est vraiment digne de cet héritage… donc je ne l’aime pas non plus ah, ah ah !
Steve Porcaro – The Very Day : Ce digne héritier de Toto (on peut l’aduler pour ce qu’il y a fait) a sorti une galette mollassonne sur laquelle la flamme de Toto est très vacillante.
Lucas Biela
Tops:

1. Dax Riggs – 7 Songs For Spiders
Mélancolie et espoir se conjuguent avec bonheur dans ce nouvel album du co-fondateur d’Acid Bath
2. Shrunken Elvis – Shrunken Elvis
Un univers foisonnant à la frontière du réel et du fantastique
3. Præternatura – Spirit Craft Materia
Du black metal atmosphérique envoûtant où effroi et sérénité parviennent à s’entendre
4. The John Irvine Band – Here Come The Robots!
Mélodies et féérie illuminent l’univers du magicien écossais des claviers et de la guitare
5. Bad Birthday – Onesideisuponesideisdown
Avec moult expérimentations et influences, ces Danois repoussent les frontières de la pop sans en sacrifier l’essence
6. Majestica – Power Train
Tommy ReinXeed nous invite à monter dans le train Majestica pour un cocktail de mélodies éclatantes et d’énergie inépuisable
7. Romano – Güle Güle
Humour, complicité et éclectisme émaillent l’univers bariolé de ce magicien israélien des claviers
8. Moon Letters – This Dark Earth
Un nouvel album fouillé, amusant et émouvant de nos as américains du rock progressif
9. Evan Bartels – To Make You Cry
À travers la présentation de vies brisées cherchant à se reconstruire, la folk/country d’Evan Bartels nous fait pleurer
10. Steve Morse Band – Triangulation
Le retour gagnant du guitariste le plus plébiscité des lecteurs de Guitar Player à ses débuts
Mentions spéciales :
Circuit Des Yeux – Halo On The Inside
Pigeon Pit – Crazy Arms
Discipline – Breadcrumbs
Nobody Jones – Missing Person
Bloodbark – Sacred Sound Of Solitude
Blind Equation – A Funeral In Purgatory
Tormentor Tyrant – Excessive Escalation Of Cruelty
Nomade Orquestra – Terceiro Mundo
Propagandhi – At Peace
Ruthven – Rough & Ready
Flops :
SOM – Let The Light In
Lyra Pramuk – Hymnal
Dark Angel – Extinction Level Event
Psudoku – Psudoktrination
Le son excessivement fort dans les concerts de rock, minant leur appréciation et obligeant à se « bouchonner » les oreilles.
Thierry Folcher
Tops :

Cette année, ma sélection est quasi américaine. Ce n’était pas intentionnel, c’est juste comme ça. Seul Lunatic Soul (Pologne) sauve l’honneur d’une Europe bien malmenée dans mes premiers choix.
1. Taj Mahal & Keb’ Mo’ – Room On The Porch
Une musique fondamentale et une interprétation à la fois sensible et majestueuse,
2. Kennebec – The Water Wheel
La belle surprise de fin d’automne qui m’a complètement subjuguée. Eric Phillips aka Kennebec est un artiste hors du commun dont on n’a pas fini d’entendre parler (du moins, je l’espère).
3. The Doobie Brothers – Walk This Road
La tranquille assurance d’un savoir-faire bien rodé et parfaitement réalisé en 2025.
4. Lunatic Soul – The World Under Unsun
La grande confirmation progressive de fin d’année. Mais est-ce vraiment une confirmation ? Mariusz Duda a tellement démontré d’excellentes dispositions musicales que cela ne m’étonne pas du tout.
5. The Brothers Comatose – Golden Grass
Le disque hors mode par excellence, mais qu’il faut absolument posséder et se passer en boucle.
6. Robert Finley – Hallelujah ! Don’t Let The Devil Fool Ya
Le prêche génial d’un miraculé en communion avec les forces divines.
7. Pomplamoose – Photogénique
La bouffée d’air pur de cette année. Lorsque des Californiens écrivent et chantent en français, cela devient carrément irrésistible.
8. Brad Mehldau – Ride Into The Sun
Ce parfait hommage à Elliott Smith se transforme en un disque à la belle et émouvante virtuosité.
9. Beirut – A Study Of Losses
Le projet suédois de Zack Condon fut longtemps en tête de ma liste.
10. Steve Porcaro – The Very Day
Toute la magie de Toto sur le deuxième album solo de son légendaire sorcier des claviers.
Mention très spéciale :
Ange – Cunégonde
Ultime album avec Christian Décamps en maître des lieux. Un autre Ange a déployé ses ailes avec, espérons-le, le même succès et la même longévité. Au fait, Cunégonde, sans être phénoménal reste malgré tout à la hauteur de la légende, qu’on se le dise.
Mentions spéciales :
Feu ! Chatterton – Labyrinthe
Jon Durant, Colin Edwyn, Chris Maitland – The Baldock Transmission
Bioscope – Gentō
Cymande – Renascence
The Delines – Mr Luck & Ms Doom
Djabe & Steve Hackett – Freya – Artic Jam
Collettivo Immaginario – Oltreoceano
Piers Faccini & Ballaké Sissoko – Our Calling
TAUK – Somewhere Between Here And There
Khruangbin – The Universe Smiles Upon You ii
Flops :
Steven Wilson – The Overview
Dix mois plus tard, qui écoute encore cet album ?
Rick Wakeman – Melancholia
Ouf, dernier volet d’une trilogie piano solo. Mais quel ennui !
John Lees’ Barclay James Harvest – Relativity
C’est maintenant acquis, Barclay James Harvest n’a plus d’avenir. Mais son passé suffit grandement à notre bonheur.
Gazpacho – Magic 8-Ball
Depuis Tick Tock (2009), j’ai arrêté de suivre Gazpacho et ce n’est pas ce millésime 2025 qui me fera changer d’avis.
Sandra Benyachou
Tops :

1. Animal Triste – Jericho
Un album exceptionnel et puissant ! Jericho affirme la personnalité du groupe. Un opus ténébreux et intense.
2. Arman Méliès – Ambrosia
Envoûtement, enchantement … Un merveilleux album où Arman nous transporte entre poésie et mélancolie. Un de ses meilleurs opus sans conteste !
3. Kwoon – Odyssey
L’album est composé de douze titres remplis de douceur et de romantisme. Il invite au voyage et donne l’impression de partir dans un film et sa BO vers des territoires inconnus.
4. Feu ! Chatterton – Labyrinthe
Arthur Teboul est envoûtant, des textes percutants et sensibles. Une pop baroque sur des sons rock et électroniques, un vrai bonheur, surtout en live !
5. Benjamin Biolay – Le Disque Bleu
Un double disque poétique et rêveur, une invitation au voyage et au cocooning. C’est lumineux et chaleureux, avec en première partie de tournée acoustique, une magnifique mise en scène !
6. Rosalia – Lux
Un disque surprenant et transcendant ! Une véritable découverte avec le clip du titre « Berghain » qui est un vrai chef-d’œuvre. Sur l’album, Rosalia chante dans plusieurs langues, une vraie ouverture d’esprit et une vraie odyssée sensorielle.
7. Florence and the Machine – Everybody Scream
Un album sombre et intime. Ambiance rock gothique et envolées lyriques. Florence dévoile un coté vulnérable.
8. Anouar Brahem – After The Last Sky
Album profond et méditatif. Poésie et jazz dédiés au conflit en cours à Gaza, notes sombres teintées d’espoir !
9. Kenny Barron – Song Book
Maitre du piano, Kenny Baron nous embarque, accompagné de plusieurs voix, en revisitant treize compositions emblématiques. Un projet magnifique qui nous fait voyager vers le passé, mais se dire que « Jazz is not dead ».
10. Marion Rampal – Song For Abbey
L’admiration de Marion Rampall pour Abbey Lincoln dans un album folk-jazz exceptionnel. Des morceaux lumineux et authentiques !
Mentions spéciales :
Jack Lena – Autopsy Of A Broken Being
Kwoon – Unplugged From The Moon
Flops :
Le prix des places de concert !!! + 41% en dix ans en France, de quoi renoncer à aller voir plusieurs artistes sur scène et réduire significativement les sorties.
Flop général sur la musique qui a du succès auprès du grand public et qui ne risque pas de s’arranger avec tous ceux qui vont utiliser l’IA etc. Peut-on garder espoir qu’une partie de la jeune génération garde le goût de la bonne culture musicale ?
Fred « General Eclectic »
Tops:

1. Tamino – Every Dawn’s A Mountain
L’artiste belgo-égyptien, à mi-chemin entre Radiohead et Jeff Buckley, réussit à créer une stratification sonore éclectique et méditative de l’introspection.
2. Robert Plant – Saving Grace
Si on ne savait de qui était cette réjouissante galette on dirait « belle découverte ! ». Le vétéran du rock transforme la sagesse en grâce !
3. Kadavar – Kids Abandoning Destiny Among Vanity And Ruin
Sans révolutionner le genre, nos amis allemands livrent avec ce 5e album alt-rock accessible et efficace une œuvre qui assume le chaos comme moteur du monde.
4. Octave Lissner – Learning To Live
Toujours pas de support palpable pour ce 3eme album (dommage pour ceux qui, comme moi, aiment toucher du doigt les ondes sonores) mais une petite pépite soul-funk !
5. Lord Huron – The Cosmic Selector Vol. 1
Du charisme à revendre pour cette nouvelle galette folk où pointent quelques noms connus comme Kristen Stewart ou Kazu Makino.
6. Young Gun Silver Fox – Pleasure
Un titre simple et ambitieux servi sur un plateau d’argent qui tient toutes ses promesses.
7. Seu Jorge – Baile À La Baiana
Ça groove et ça funk à profusion ! Un opus festif qui se veut être une passerelle entre les influences cariocas et bahianaises.
8. Las Hermanas Caronni – El Espacio Del Tiempo
Il aura fallu la sortie de ce 5eme album pour que je découvre la pureté de la musique des sœurs Caronni. Il ne me reste plus qu’à rattraper le temps perdu.
9. Jesse Welles – Middle
Un disque réussi pour le troubadour de l’Arkansas, étoile montante du folk-rock américain.
10. Basia Bulat – Basia’s Palace
La Canadienne a troqué les paysages bucoliques de l’opus précédent (Garden) pour les quatre murs d’un univers intérieur, accueillant et cosy.