Oh Toi, M, je te dédie cette chronique. Toi, la divine compagne de notre rédac-chef haï par la plupart. Ceux qui sont toujours bafoués par la voix dogmatique de ce Sieur

« A Sun That Never Sets » est grand. Grand dans sa forme, son attirance, son mystère, son aura faite de serpentins lumineux et autres magma d’aplats

Hum… Compliqué de passer à côté de celui-ci quand on s’attaque à la disco du titan Neurosis, même si on ne veut pas. Qu’on aime ou qu’on rejette en bloc ce

Il existe des moments où ça va de soit.
Il existe des instants où il n’y a rien à dire.
Il existe des mains qui te

Cette chronique est encore placée sous le signe de l’objectivité. L’oppression par l’émotion. À moins que ce soit le contraire ? Je ne sais pas. Neurosis me fait toujours

Quelque chose fixe l’horizon. Une bête feule et gronde. Ses yeux aussi sombres que du minerai noir. Sa forme est indécise. Son pelage rougeoie dans l’obscurité. Sa démarche, lente,

Swans en concert, c’est fort, incroyablement fort. En tout point de vue d’ailleurs. Un volume sonore ahurissant de puissance et

Les Hommes ont leur démons. Légions dans un coin du crâne, batifolant dans le marasme existentiel. L’apathie ? On ne

S’il y a bien une chose que j’ai saisi avec Neurosis, c’est que l’objectivité est un concept abscons à mettre illico à la décharge. Pourquoi ? Parce que