Dead Can Dance – In Concert
Dead Can Dance
Pias
En 2012, Dead Can Dance nous revenait par surprise du royaume des morts avec « Anastasis« , un nouvel album de fort belle facture, avant d’entamer la tournée
musiques progressives, électroniques, expérimentales, extrêmes, alternatives, texturales
En 2012, Dead Can Dance nous revenait par surprise du royaume des morts avec « Anastasis« , un nouvel album de fort belle facture, avant d’entamer la tournée
Ce soir, je revenais de l’usine. C’était encore une de ces journées de merde en perfide Albion, avec la pluie incessante, qui pisse et pisse encore. Ma casquette semble avoir
Oubliez tous les albums du mois, du trimestre ou de l’année encensés à grand renfort de dithyrambes dans la presse spécialisée. Pour une fois, un événement annoncé comme la septième merveille
Fondé en novembre 2007, à l’initiative conjointe de Stig Nergad (guitares) et Ben Rodgers (chant), bientôt rejoints par Ivar Hagen Boe (basse), Anders Berg Sumbdo (claviers) et Vidar
Melvins fait du Melvins, et Melvins fera toujours du Melvins. Ils ont la classe américaine et sont tout simplement prêts à tout. Et quand ils ne sortent pas un
Cinq ans après l’excellent « Volume 3 », Eclat signait en 2002 son grand retour dans l’arène progressive avec un nouvel opus studio de haute volée. Illustré par
KTL = Duo. D’un côté Stephen O’Malley qu’on ne présente plus (sauf aux têtards du fond), et de l’autre Peter Rehberg, maître à penser d’un mode de composition numérique assistée par ordinateur
C’est une belle histoire que celle de ce groupe français qui en avait étonné plus d’un avec son premier album « Amnésie ». Pour ceux qui avaient manqué les précédents
Pandemonium n’est pas un vrai groupe, c’est l’œuvre d’un seul homme ou plutôt d’un homme seul : Pawel Penksa, musicien des formations polonaises Night Rider et Night Rider Symphony. Ce
Doudididada Douuuu di di dada
C’est le grind
C’est le core
C’est la minute GRINDCORE
Doudididada Douuuu di di dada poum pouf
La frange métalleuse, celle qui est officielle