Je te le pose direct, tout de go : Goat, c’est une putain de drogue. Celle du genre qui te fout une banane à faire chialer de honte cette lopette de
Il s’en passe des choses au fin fond des caves parisiennes, au milieu des bouteilles de vins du grand oncle, du mini train électrique rouillé de pépé Raymond
Full Of Hell, j’en avais déjà pipé quelques mots pour leur second effort studio. Et mine de rien, à défaut d’être franchement
Cri primal… On commence doucement par un hoquet, une respiration en apnée, des muscles qui se tendent par impulsions. Puis, les premiers sons se font entendre, sanglots en amorce, rictus
Arno Boytel et ses complices du groupe de rock/folk psychédélique Special Deliverance planchent actuellement sur les finitions d’un nouvel album qui a déjà trouvé son titre
Depuis qu’il a fondé le G.O.D Records (Garden Of Dreams), Michalis Matthaiou, passionné de ce rock underground et psychédélique à l’ancienne, ne cesse
La commune de Laguna Beach évoquera certainement chez le lecteur quelque chose comme soleil, vacances, doigts de pieds en éventail… Et pourtant – Vive l’Amérique ! – sous le sable,
Je me suis fait taper dessus. Pas mal de fois. En fait, je me fais taper dessus. Assez souvent, pas tout le
Amis. Mes coquins, ça ne sert pas à grand-chose de revenir sur le caractère indiscutablement, fermement et sympathiquement cool de Goat.
Cool, parce que ça envoie dans le cuir,
Il y a parfois de belles surprises musicales qui surgissent de nulle-part, des coups de cœurs aussi immédiats qu’effervescents et Cholo Visceral, joyeux bazar animé par une folie