Biosphere – N-Plants
Biosphere
Touch
Alors là… Vous ne pouvez pas savoir comment ça me fait mal d’écrire cette chronique. Je ne sais même pas comment la débuter. Ah, bon sang ! Je n’arrive pas à croire
musiques progressives, électroniques, expérimentales, extrêmes, alternatives, texturales
Alors là… Vous ne pouvez pas savoir comment ça me fait mal d’écrire cette chronique. Je ne sais même pas comment la débuter. Ah, bon sang ! Je n’arrive pas à croire
À chaque fois que j’aborde le cas Daniel Menche, je ne sais jamais comment commencer. Bon c’est vrai, j’ai un peu parlé du bonhomme dans une précédente chronique. N’empêche
Dans le registre du « je-te-fous-les-chocottes-avec-trois-fois-rien », « Salt Marie Celeste » se pose là. Ah ça, cet album marque des galons. Steve Stapleton a fait fort,
Que de chemin parcouru pour Amon Adonai Santos de Araújo Tobin (à vos souhaits) depuis la moitié des années 90. Qui aurait pu se douter que ce rabatteur pour hôtel
En 1997, un musicien du nom de Craig Armstrong publie « The Space Beetween Us », premier album bouleversant d’esthétisme et de maîtrise, sorte de fusion géniale
Quand on voit une pochette comme ça, on ne sait pas trop à quoi s’attendre. Pourtant, ce type d’album mes agneaux, ce n’est que du bonheur. Une jouissance électronique qui réunit du
Prévenons d’emblée, Francisco López c’est une variation du field recordings. En effet, là où Chris Watson nous transporte dans les lieux qu’il a enregistrés et compilés, López lui,
Chris Watson, dont j’ai déjà parlé dernièrement sur l’album « Number One », est avant tout un orfèvre du field recordings. Ayant fait auparavant ses armes sur le
Le choix a été assez dur pour choisir un disque de Daniel Menche. L’artiste étant si prolifique que le néophyte peut s’y perdre en moins de deux. Pourquoi Kataract ? À
Il me semble impossible de passer outre cette entité sonique. Et pourtant, il est des albums qu’on n’ose pas trop s’approcher. Non pas par leur violence ou leur